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» Jésus est le berger universel. Si nous suivons ce berger, il nous faut sans cesse l'accueillir, le rejoindre dans le don de lui-même. « Ma vie, personne ne me la prend: c'est moi qui la donne. » Nous pouvons entrer dans la mission du Bon Berger, à la suite de Jésus. Dans cet amour de compassion pour nos frères, nous prenons place avec lui pour la mission. « J'ai encore d'autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie: celles-là aussi, il faut que je les conduise, dit Jésus. » Je veux bien me laisser aimer par Dieu pour suivre Jésus, et je veux bien regarder jusqu'à quel point Jésus m'aime. Comme Pierre, nous poursuivons un chemin de guérison car nous sommes pauvres et blessés comme lui! Nous entrons dans la blessure du cœur de Dieu ouvert pour nous. Guéris par cet amour, transformés, nous devenons guérissant pour notre peuple! "Celui qui a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive, de son cœur jailliront des sources d'eaux vives. Homélie 4e dimanche de Pâques : 3 obstacles à toute vocation - Le Carmel en France. " Nous annonçons dans la joie le mystère de Jésus le Bon Pasteur qui est venu défendre les brebis, les plus petites et les plus pauvres.
Malheureusement, nous nous opposons entre nous, et souvent jusqu'au cœur de ton Église. Que l'Amour qui presse ton cœur brûle aussi chacun de tes enfants. Il n'a de cesse que toutes tes brebis ne soient rassemblées, et pour cela, tu as livré ta vie. Que ton Esprit me donne la force de livrer ma vie avec toi pour tous mes frères, sans jamais en rejeter un seul! … Mère du Bon Pasteur, garde en mon cœur cette exigence de l'Amour divin, source de la vraie joie. Amen. REGARDER → La mosaïque du Bon pasteur, à Ravenne. 4e dimanche de Pâques, année B - Père Gilbert Adam. Une œuvre commentée par le bibliste Régis Burnet. LIRE AUSSI: → Jésus, un bon pasteur surprenant, un article de Véronique Thiébaut, religieuse de l'Assomption.
« Je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent ». Le terme « connaître » ici a une grande richesse. Il ne se réfère pas à une connaissance avec sa tête seulement ou une connaissance théorique. Il faut plutôt penser qu'il a le sens qu'on lui donne quand on dit dans le langage courant « lui, je le connais bien » ou « elle, je la connais bien » ou encore « si j'avais bien connu cette personne, je ne lui aurais pas fait autant confiance». On indique dans ces usages que connaître une personne c'est aller plus loin que le côté superficiel qu'on voit d'elle à tous les jours. Homélie 4e dimanche de pâques b plus. C'est aller vers ce qui la fait vivre, c'est entrer dans ses sentiments et ses attentes, c'est porter ses fardeaux et ses deuils parfois, c'est marcher à côté d'elle, c'est la relever lorsqu'elle est abattue et blessée. Voilà comment se déploie la vraie connaissance des brebis. Tous ces gestes sont ceux que Jésus a faits pour nous et qu'il continue de faire: il porte nos fardeaux, il marche avec nous, il nous relève, il nous guérit.