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Pour faire écho à l'exposition interactive Des trous dans le vent, hébergée par la médiathèque Grand Auch au mois de février, l'auteur de littérature jeunesse et écrivain touche-à-tout, Bernard Friot vous invite à la médiathèque le mercredi 9 mars de 14 h à 15 heures pour ce qu'il appelle lui-même une "balade poétique". Découvrir ou redécouvrir la poésie autrement à travers un moment de partage entre les petits et les grands; réinventer notre rapport à la poésie, tant écrite que lue à voix haute; rire, ressentir et rêver tous ensemble, c'est l'objectif de cette petite balade. Parce que la poésie c'est encore mieux quand on la partage. Auteur des fameuses Histoires pressées mais aussi de Poèmes à dire comme tu voudras et récemment de Petit Biquet et le grand (pas) méchant loup, Bernard Friot est également traducteur et se définit comme un "écrivain public". Il se nourrit des rencontres avec la jeunesse pour créer ses histoires. Poésie mois de mars cm2. Cette rencontre est organisée en partenariat avec l'INSPE d'Auch.
Enfance et adolescence Son éducation est faite avec de nombreux voyages et il lit énormément. Il est un très bon élève et écrit des poèmes très tôt (avant quinze ans). Il veut devenir écrivain. Des drames dans sa famille En 1822, il a épousé Adèle Foucher. Ils ont eu cinq enfants: -Léopold (16 juillet 1823 - 10 octobre 1823), premier des cinq enfants qu'auront Victor et Adèle Hugo, il se nomme comme son grand-père et mourra prématurément un peu moins de 4 mois après sa naissance. -Léopoldine (28 août 1824 - 4 septembre 1843), elle mourra lors d'un voyage a bord du nouveau voilier de Charles Vacquerie, son mari, suite a une raffale violente, les pierres mises sur le bateau pour que l'embarcation ne soit pas trop légère déséquilibrèrent le voilier et Léopoldine ne sachant pas nager se noya. -Charles (4 novembre 1826 - 13 mars 1871), seul enfant de Victor Hugo qui laissera une postérité, aujourd'hui nombreuse, il sera notamment le grand-père du peintre Jean Hugo. 🥰 Poésie printanière 🌷🌼🌤️ |. Il meurt d'une apoplexie (AVC) foudroyante à Bordeaux, alors qu'il se rend en fiacre au restaurant Lanta (aujourd'hui café Le Régent), place Gambetta, où l'attend son père.
Sebka parvient à se placer tout autant dans la peau des femmes que dans celle des hommes « Je suis un peu des deux », annonce-t-il avec sa gueule et son allure de dandy désinvolte. Enfance picarde, études de russe (langue qu'il chante volontiers par ailleurs) et parents agrégés, il baigne dans le monde des mots et des sons depuis longtemps. Puis il sort du cadre avec ironie et devient croque-mort pour être au plus près… de la mort? De la vie? Viré un matin pour avoir oublié son uniforme, il devient alors chauffeur de berlines à Paris et finit par tomber en panne d'essence sur l'autoroute… C'est décidé, il plaque tout pour la chanson! La musique est pour lui autant une pacotille que ce que l'on peut faire de plus sérieux, de plus grave. Il revisite la chanson francophone avec des thèmes très actuels: l'amour dans tous ses états, le genre, la solitude, l'écologie. Programme en cours | www.maisondelapoesieparis.com. On pense à Brassens quand il s'accompagne à la guitare, mais on peut penser aussi à Bashung, à Gainsbourg, ou à Brel. Site de l'artiste Entrée libre, sortie au chapeau.