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Édouard Vuillard vivra avec sa mère jusqu'à l'âge de soixante ans, lorsqu'elle meurt. Il côtoie au lycée Condorcet le futur musicien Pierre Hermant, le futur écrivain Pierre Veber et le futur peintre Maurice Denis. En 1885, il quitte le lycée et rejoint Ker-Xavier Roussel, son ami le plus proche, au studio du peintre Diogène Maillart. Ils y reçoivent les rudiments de l'enseignement artistique. Vuillard commence alors à fréquenter le musée du Louvre et se décide à suivre une carrière artistique, cassant ainsi avec la tradition familiale qui le destine à l'armée. Au mois de mars 1886, il entre à l'Académie Julian, où il a pour professeur Tony Robert-Fleury. En juin 1887, à sa troisième tentative, il est admis à l'École des beaux-arts de Paris. Vuillard – Le corsage rayé – Le Journal des peintres. L'année suivante, pendant six semaines, il a pour professeur Jean-Léon Gérôme. Pendant ses études, Vuillard s'intéresse aux natures mortes réalistes et aux intérieurs domestiques. Les artistes allemands du 17ème siècle l'intéressent particulièrement.
La plupart des peintures de cette époque, à peu d'exceptions près, sont exécutées dans une gamme limitée, où dominent les gris, les blancs, les verts rompus ( Au lit, 1891, Musée national d'art moderne, Paris). Il y a d'ailleurs un éclectisme indéniable dans cette brève période où alternent tableaux colorés et tableaux presque monochromes, compositions dépouillées ( Les Deux Portes, coll. ) et compositions encombrées: l'éclectisme d'une recherche insatisfaite. Quant aux sujets, en dehors de quelques scènes de théâtre à la Lautrec, ils sont presque tous empruntés à l'univers familier de Vuillard: l'atelier de couture de sa mère, le salon des Natanson où l'on joue du piano dans la pénombre ( Misia au piano, Staatliche Kunsthalle, Karlsruhe), « la poésie des doux intérieurs, la beauté de la vie active et pensive » (G. Geffroy, 1893): l'« intimisme » bourgeois, cher à la poésie symboliste. Astrolabus - Peinture du 19e siècle - Edouard Vuillard Femme au corsage rayé, 1895. Dès 1893, avec L'Atelier (Smith College Museum of Art, Northampton, Mass. ), le goût de l'harmonie l'emporte sur l'étrangeté parfois grinçante des recherches précédentes.
Le corsage rayé porté par la maîtresse de maison Misia Natanson est en tout point remarquable puisque, pareil à une tapisserie, il déploie vertigineusement ses motifs répétés et, par sa zébrure savante, crée un effet vibratoire optiquement médusant, et presque stroboscopique. Cette sollicitation n'est pas que rétinienne car, avec ses touches blanches et sombres semblables à celles d'un piano, avec ses accords parfaitement étudiés, avec son rythme implacable, le jeune peintre prouve qu'il sait emprunter à la musique sa syntaxe comme ses motifs et, par conséquent, se transformer en « harmoniste rare », capable de « vocaliser en mineur » (Edmond Cousturier). De l'étendue d'une gamme… Dissolution florale Des fleurs plongées dans des vases. Edouard vuillard le corsage raye. Des fleurs par dizaines, peut-être par centaines. Compte moins le nombre que l'effet, que cet effet d'exubérance qui prouve combien le peintre préfère à la précision botanique la profusion picturale. Car il s'agit bien ici de peinture, et d'un véritable morceau de peinture où s'affrontent des gestes amples et des touches pointues, des couleurs sourdes et des points colorés, volontiers audacieux – ainsi la disposition préméditée du rouge exhaussant de son mordant les feuillages sages, « harmonieux et discrets » (Arsène Alexandre).