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Je voulais simplement vous dire qu'il existe des solutions, cela vaut le coup de trouver un bon homéopathe, sans oublier si c'est possible de dédramatiser car l'enfant bien entendu, vit mal cette situation. Je suis à votre dispo pour + d'info Ne passons pas à côté des raccourcis vers la joie de vivre. Edité le 02/11/2006 à 1:56 PM par Min04kx A Anonymous 07/11/2006 à 18:39 Bonsoir à tous Jonathan a repris le chemin du collège, il nous a téléphoné il y a 1 heure pour nous raconter sa reprise, bien sur je lui ai demandé pour la nuit et il m'a répondu que ce matin sa couche était sèche tout comme pour son copain Matthieu qui est avec lui. Ils on fait dans la chambre un concours celui qui aura le plus de nuits sèches sur la semaine sera le chef de chambre la semaine suivante. J'ai l'impression qu ça le stimule. Pourvu que ça dure. A Anonymous 18/11/2006 à 17:51 Bonjour à tous Des nouvelles de Jonathan, 2 semaines sans pipi au lit au collège, il a décidé de faire l'expérience des nuits sans couche comme à la maison.
N'ayez pas peur de son intégration si cela venait à se passer mal n'hésiter pas à le retirer. Publicité, continuez en dessous A Anonymous 20/09/2006 à 15:00 Bonjour à tous, Jonathan est maintenant pensionnaire pendant la semaine, le collège a été trés compréhensif pour son problème d'énurésie. Il dort dans une chambre de 4 enfants qui sont tous plus ou moins énurétiques. Il porte une dry night pour dormir et depuis la rentrée il a fait des progrés car il ne se mouille plus toutes les nuits environ 3 fois par semaine c'est mieux qu'avant. Il y a dans sa chambre 3 autres garçons un de son age et deux plus grands 14 ans je crois et tous ils portent une couche pour la nuit ce qui fait qu'il n'y a pas de moquerie. Comme les chambres sont occupées par des enfants d'age différents personne n'a rien vu. Il est trés content et veut continuer l'expérience de l'internat. Son objectif à la fin de l'année scolaire ne plus faire pipi au lit. L luc80ra 20/09/2006 à 18:38 Bonne nouvelle pour ton fils.
Il est possible dans certains cas, de prévenir l'énurésie nocturne en adoptant des règles de vie très simples. Éviter de donner trop à boire à l'enfant peu de temps avant l'heure du coucher. Privilégier la journée les eaux de boissons peu minéralisée. Supprimer les boissons sucrées et gazeuses après 18 heures ainsi que les aliments très salés. Faciliter l'accès aux toilettes en installant une petite veilleuse. Lui apprendre à ne pas se retenir lorsqu'il a envie de faire pipi même lorsqu'il joue. Restez à l'écoute des sentiments que l'enfant peut exprimer vis-à-vis de son pipi au lit. Dédramatisez son énurésie afin d'éviter tout traumatisme. L'énurésie est un symptôme et non une maladie. Pour en arriver à bout, il faut que l'enfant soit mis en confiance et qu'il soit acteur de son traitement. Parfois vécu comme un tabou, le pipi au lit peut conduire à l'isolement et, à l'extrême, à l'exclusion sociale. L'énurésie peut être enfin un symptôme de trouble organique ou maladie, parmi lesquels: diabète, malformation de l'appareil urinaire, infection urinaire.
L'énurésie primaire peut-elle toucher les adultes? De par sa définition même, l'énurésie primaire ne touche pas les adultes. Chez un adulte, des mictions involontaires durant la nuit survenant inopinément seront plutôt considérées comme de l'énurésie secondaire. Par ailleurs, on ne parle pas d'énurésie lorsqu'il y a une incontinence urinaire, une rétention des urines, des fuites urinaires ou encore une polyurie dans le cadre d'une pathologie (diabète notamment). Le retard de contrôle du sphincter vésical constaté chez les personnes présentant une déficience moteur ou mentale n'est pas non plus appelé énurésie primaire. Sources et informations complémentaires:
En complément, quand ces mesures ne suffisent pas, il est possible d'avoir recours à des médicaments ou des dispositifs sur avis médical: la desmopressine; les alarmes sonores qui se déclenchent en cas de miction; l'oxybutynine; les antidépresseurs imipraminiques.