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D'importants moyens ont été mis en œuvre pour empêcher un désespéré de sauter du pont de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) dans la nuit du samedi 14 mai 2022. Par Julien Bouliou Publié le 16 Mai 22 à 11:34 L'Écho de la Presqu'île D'importants moyens ont été mis en œuvre pour empêcher un désespéré de sauter du pont de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) dans la nuit du samedi 14 mai 2022. ©adobe D'importants moyens ont été mis en œuvre pour empêcher un désespéré de sauter du pont de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) dans la nuit du samedi 14 mai 2022. Les secours ont été mis en alerte vers 4 h du matin alors qu'un homme menaçait de se jeter dans le vide. Une heure de négociations La circulation sur le pont a été bloquée dans les deux sens, le temps d'un dialogue entre les gendarmes et la personne suicidaire. Au bout d'une heure, cette dernière a accepté d'être prise en charge par les pompiers. Cet article vous a été utile? Sachez que vous pouvez suivre L'Écho de la Presqu'île dans l'espace Mon Actu.
police / Pixabay Une femme de 45 ans comparait depuis ce lundi devant la Cour d'Assises du Vaucluse pour le double infanticide qu'elle a commis le 28 octobre 2019 à Cavaillon. Sandrine a commis l'impensable. Cette femme âgée de 45 ans est jugée depuis ce lundi devant la Cour d'Assises du Vaucluse pour le double meurtre de ses enfants qu'elle a commis en 2019 dans la commune de Cavaillon. Cette dernière qui officiait en tant que directrice d'un laboratoire d'analyse médicale, était séparée depuis près de deux ans de son compagnon. La femme vivait toujours dans le domicile familiale et le père de famille s'était quant à lui installé dans un appartement. Ce dernier appelait tous les jours ses deux enfants âgés de 4 et 7 ans pour prendre de leurs nouvelles jusqu'à cette terrible soirée du 28 octobre 2019. Ce soir-là, Florian (le papa) âgé de 34 ans tente de joindre son ex-femme, sans succès. L'homme qui a pressenti que quelque chose avait pu arriver, s'est alors précipité au domicile de son ex-compagne avant de découvrir l'horreur dans l'une des chambres du domicile.
Sa femme et la sœur jumelle de celle-ci se prénommaient, elles, Nasrine et Narjisse Gama Feraoun. Qui étaient les membres de la famille? Un voisin s'est d'ailleurs souvenu du comportement étrange du père de famille: " Il avait toujours la tête baissée. Il ne répondait même pas aux 'bonjour'. Il se sentait gêné, il devenait rouge, ça arrivait même qu'il ait des petites gouttes de sueur sur le front, il était vraiment mal à l'aise. Quand on les voyait, ils étaient vraiment 'normaux', ils rigolaient entre eux, discutaient entre eux, mais dès qu'il y avait quelqu'un d'autre qu'eux cinq, c'était le silence ". Mais Narjisse Gama Feraoun, contrairement à son beau-frère, était très appréciée de son entourage. L' ophtalmologue, qui travaillait aux Hôpitaux Universitaires de Genève, faisait même l'unanimité auprès de ses patients. " C'était quelqu'un de très brillant, de joyeux, rayonnant. Tout le monde l'appréciait beaucoup. Elle ne se plaignait jamais de rien, elle n'avait aucun mot méchant sur personne.
© ©pexels 4/6 - Deux morts Les deux hommes, dont l'identité n'est pas connue, sont morts sur place. © ©pexels 5/6 - Accident similaire En avril dernier, un accident similaire avait eu lieu à San Diego. © ©pexels 6/6 - Chute fatale Une femme de 29 ans avait perdu la vie après avoir été écrasée par un homme chutant du 9ème étage d'un parking. Lui aussi souhaitait, a priori, mettre fin à ses jours.
J'ai envie de te dire que je me fiche qu'il te plaise ou non, que l'important c'est qu'il soit heureux, mais ce serait de la fausse modestie. Cela m'a pris une décennie pour me lancer, pour me rendre compte que l'écriture et bien plus qu'un hobby ou qu'une activité annexe. Ce n'est pas un passe-temps, mais bien au contraire, une vocation. Toutes mes autres occupations sont des loisirs qui me permettent de pouvoir, de temps en temps me plonger dans l'écriture. C'est vers cela que je tends et, maintenant que j'ai autopublié mon premier bouquin, je ne peux plus m'arrêter, je ne voudrais rien faire d'autre. C'est ma nouvelle drogue, c'est ma force et ma faiblesse, c'est ce que je souhaite faire, en mon for intérieur. Tu te demandes en quoi c'est lié au fait de se lancer, quel est le rapport avec la publication et la réponse est très simple. Que mon livre soit publié ou autopublié, qu'il soit aimé et critiqué pour ce qu'il est ou pire encore, pour ce qu'il n'est pas, n'a pas d'importance. Ce qui compte c'est de créer et de trouver une harmonie, d'accomplir.
C'est-à-dire qu'il faudrait passer trois fois par semaine pour pouvoir récolter, et pour cela il faudrait qu'on soit exactement trois fois plus de salariés. " Il y en a déjà une cinquantaine, il en faudrait donc 150 pour cueillir toutes les fraises à temps. Impossible pour ce maraîcher qui dénonce l'inaction de la grande distribution: "Ces fraises seront en légère surmaturité, et donc invendables. " "Ce que je regrette vraiment, c'est que les supermarchés ne puissent pas nous aider parce que ces fraises feraient de la confiture exceptionnelle et on ne trouve pas de fraises à confiture en supermarché. " Laurent Dirat, propriétaire d'une exploitation de fraises à Gramont à franceinfo Écoeuré, Laurent Dirate envisage de réduire d'un tiers sa production dès l'an prochain. "Je n'ai pas envie de revivre une année comme ça", admet le producteur qui s'interroge aussi pour le futur: avec le réchauffement climatique, cultiver la fraise sera de plus en plus difficile. "Avec des températures trop importantes, on ne pourra plus.