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Le site a notamment diffusé dès 2001 un texte de référence intitulé Le squat de A à Z, régulièrement mis à jour depuis, et surtout repris par quantités d'autres sites qui le diffusent telle une œuvre libre de droits. Les squatteurs en puissance y trouvent des conseils pour choisir l'habitation à squatter, bénéficier de l'eau ou de l'électricité (en payant ou non), et surtout apprendre à résister face aux pressions judiciaires, avec souvent des arguments juridiques très détaillés. Le guide du squat de a à z de a a z pdf. Leur presse (Guillaume Champeau, Numerama), 13 décembre 2011. lu sur le j ura libertaire
C'est aussi un moyen de survie quand on ne peut pas/plus payer de loyer (un moyen qui peut mener à se questionner sur nos façons de vivre, sur le travail, la famille, la vie collective, le train-train quotidien, sur les possibilités de vivre nos idées dans une telle société). Chaque squat est différent. Le quotidien dépend largement des contextes politique, socio-économique, juridique, inter-relationnel, etc., mais tout squat est « politique », dans la mesure où il bouleverse, même parfois involontairement, l'ordre social et la propriété privée. Dijon: Parution d’un « bonus juridique » au « Squat de A à Z ». Le squat est généralement dépendant des espaces laissés à l'abandon par la bourgeoisie, l'État et le système capitaliste. Il ne peut être considéré comme un but, mais tout au plus comme un moyen. Mais pas n'importe quel moyen: au-delà du logement, le squat peut être un lieu de résistance et d'expérimentation. Squatter, c'est prendre une part de l'interdit, briser la soumission à la légalité, c'est une recherche d'autonomie. L'espace ouvert par les squats permet aussi de se retrouver dans des pratiques diverses: auto-organisation, gratuité, entraide, récupération/recyclage, débrouille, occupations en tous genres, ouverture sur l'extérieur et confrontation des façons de vivre, débats, réflexions,...