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Découvrez le poème "Éloge de l'oranger" écrit par Jean de La Fontaine et publié en 1669. Ce poète est né en 1621, mort en 1695. "Éloge de l'oranger" de de La Fontaine est un poème classique extrait de Les amours de Psyché et de Cupidon. Profitez de ce poème en le découvrant sur cette page. Et n'oubliez pas que vous pouvez télécharger gratuitement en format PDF le poème Éloge de l'oranger et l'imprimer depuis chez vous! Grâce à ce document PDF sur le poème de de La Fontaine, vous pourrez faire un commentaire ou bien vous évader grâce au vers de "Éloge de l'oranger".
Accueil Virgule Les voyages dans la Lune Virgule n° 52 Les voyages dans la Lune N° 52 - mai 2008 Version papier Le confort de la lecture papier à domicile sous 72h 6, 70 € ISSN: 9771760230006 -l'histoire littéraire des voyages dans la Lune, de l'Antiquité à nos jours, accompagnée de deux récits fantastiques (les aventures lunaires de Lucien de Samosate et de Cyrano de Bergerac) - un dossier sur les difficultés de prononciation de quelques mots de la langue française dans votre revue enfant du mois de mai. Sommaire Répondez à une énigme littéraire, posée à partir d'un poème de Jean de La Fontaine, "éloge de l'oranger". Magazine: Virgule n° 52 Page: 2-2 Fiches Vous aimerez aussi BD ALI & LOLA - Espèce de pléonasme! - T1 Des aventures grammatico-vocabulistiques 14, 50 € Découvrir BD VICTOR L'ENFANT SAUVAGE L'enfant sauvage de l'Aveyron BD ALI & LOLA - Avatar toi-même! - T2 BD APOLLO 11 Les premiers pas de l'homme sur la Lune Inscrivez-vous à nos newsletters Et recevez toutes nos actus en exclusivité
Sommesnous, ditil, en Provence? Quel amas d'arbres toujours verts Triomphe ici de l'inclémence Des aquilons et des hivers? Jasmins dont un air doux s'exhale, Fleurs que les vents n'ont pu ternir, Aminte en blancheur vous égale, Et vous m'en faites souvenir. Orangers, arbres que j'adore, Que vos parfums me semblent doux! Estil dans l'empire de Flore Rien d'agréable comme vous? Vos fruits aux écorces solides Sont un véritable trésor; Et le jardin des Hespérides N'avait point d'autres pommes d'or. Lorsque votre automne s'avance, On voit encor votre printemps; L'espoir avec la jouissance Logent chez vous en même temps. Vos fleurs ont embaumé tout l'air que je respire: Toujours un aimable zéphyre Autour de vous se va jouant. Vous êtes nains; mais tel arbre géant, Qui déclare au soleil la guerre, Ne vous vaut pas, Bien qu'il couvre un arpent de terre Avec ses bras. Les Amours de Psyché Voir tous les poèmes de JEAN DE LA FONTAINE