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Surnommé "Le Kid " par son ami Gerry Boulet, PAT MARTEL a été le batteur du groupe mythique Offenbach où on peut l'entendre sur de nombreux albums. Il a aussi joué lors des deux légendaires spectacles du groupe au Forum de Montréal. Pat vous présente avec fierté et amour, son hommage à ce groupe qui a marqué à jamais la musique rock Québécoise. La meute est composée de quatre COYOTES. L'instigateur est nul autre que PAT MARTEL qui a été le dernier a assurer la partie rythmique du légendaire groupe OFFENBACH. Dès les premières, vous saurez reconnaître son style lourd et puissant qui lui ont valu le surnom de MARTEAU. Un son qui définit la musique d'OFFENBACH. Tire le Coyote | Au premier tour de l’évidence : nouvel album 11 février 2022. Et encore aujourd'hui, il joue sans restriction, fort, et en toute liberté, comme le coyote en lui. Avec son acolyte JO HELL et le reste du groupe, vous serez emportés dans un voyage à travers la musique qui a marqué plusieurs générations et l'identité du rock en QUÉBÉCOIS. LES COYOTES, c'est un rendez-vous en hommage à l'époque d'OFFENBACH et à Gerry Boulet, ami et compagnon de musique de PAT MARTEL.
Nous étions très attachés à ce que la bande-originale de la série reflète cela. C'est le groupe américano-mexicain Calexico qui a composé notre générique. La musique me suit partout, tout le temps, dans ma vie. Parce que cela me procure de la joie et aussi, parce que quand je lis un bon script, j'entends une musique dans ma tête, le rythme et la musicalité des dialogues. Chaque chef-d'œuvre de la littérature, à mon sens, est très symphonique. Sur ce tournage, qu'avez-vous appris sur votre métier d'acteur et, sur une note plus personnelle, sur vous-même? Tellement de choses! Je prie pour que nous puissions faire d'autres épisodes [La série a été renouvelée pour une saison 2, ndlr]. Coyote groupe musique de la. J'ai commencé à m'immerger dans une autre langue, une autre la culture, et c'est fascinant. C'est un peu dichotomique, mais j'ai beaucoup appris sur ma propre ignorance, tout en étant conforté sur des choses sur lesquelles mon instinct ne m'avait pas trompé. Particulièrement sur la nature humaine. Nous sommes tous des fils, des filles, des pères, des mères, des frères, des sœurs… Nous voulons principalement tous la même chose: la paix et la prospérité, avoir un toit sur sa tête et de la nourriture sur la table, pouvoir élever nos enfants et se sentir en sécurité.
Ce cinquième album studio de Tire le Coyote sera un album de pandémie, par la force des choses et malgré la volonté de son auteur. « J'ai toujours détesté cette appellation. C'est comme ancrer le sujet d'un album dans un espace-temps trop restreint, alors que je vise plutôt l'intemporalité », affirme Benoît Pinette. Depuis deux ans, le temps passe différemment pour l'auteur-compositeur-interprète. « Je dois dire que la pandémie a eu une influence sur cette espèce de sentiment d'urgence que je ressentais constamment, explique-t-il. Avant, dès que je terminais quelque chose, j'avais besoin d'embarquer tout de suite sur un nouveau projet, une nouvelle tournée, un nouvel album, si bien que je ne m'arrêtais pas beaucoup. » Le chrono a fait « clic! Coyote groupe musique classique. » après la tournée de son précédent album, Désherbage (2017), à la fin de 2019. Temps d'arrêt. Pandémie. Personne ne bouge, tout le monde se remet en question, Tire le Coyote ne faisant pas exception. Les circonstances ont coïncidé avec un tas d'autres trucs dans la vie de Pinette, sa migration en campagne, dans le village de Saint-Élie-de-Caxton, où réside son nouveau complice, Jeannot Bournival, collaborateur de Fred Pellerin — qui d'autre!