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Ce jeudi 16 avril, France 2 rediffuse à 13h55 le film "Viens chez moi, j'habite chez une copine" réalisé par Patrice Leconte et avec Michel Blanc. Si ce dernier multiplie les rôles au cinéma, il tient à garder une part de mystère concernant sa vie privée. En 2015, l'acteur s'était confié sur son couple dans les colonnes de Paris Match. Michel Blanc fait sans conteste partie des acteurs les plus populaires du cinéma français. S'il est très visible au cinéma et compte de nombreux rôles à son actif, les spectateurs en savent peu sur l'homme qui se cache derrière le comédien. Claude piéplu vie privée. Présent au cinéma depuis des années, l'ancien membre de la troupe du Splendid demeure très discret au sujet de sa vie privée. S'il a vécu une histoire avec la chanteuse Lio au début des années 1990, celui qui est à l'affiche du film Viens chez moi, j'habite chez une copine, diffusé ce jeudi 16 avril sur France 2, serait en couple depuis plusieurs années avec une femme, dont il préfère taire l'identité. Sans doute pour la préserver.
Prudence épicière, encore. Prudent toujours, il entre immédiatement au syndicat des comédiens, qu'il présidera plus tard. En congé de la banque, il y est encore, cinquante-sept ans, cinquante-trois films et quarante-quatre pièces de théâtre plus tard, exactement. Inutile de chercher à le coller sur un rôle oublié, une phrase lâchée dans une interview donnée il y a dix-sept ans. L'homme est collectionneur et scrupuleux. Toutes ses coupures de presse sont là, ses contrats aussi, ou ses boîtes d'allumettes achetées à Madagascar en 1953. Un poste à galène également, fruit de son premier salaire chez Vernes. Il garde tout, accumule des décennies de lettres et les inévitables pots de chambre dans son entrée. Une collection, c'est sérieux. Les siennes sont classées, archivées, «mais une collection, il ne faut jamais l'arrêter, trop dangereux». Il ne veut pas faire de son appartement un mausolée. L'adieu à Piéplu - Le Parisien. Sauf que l'entrée paraît figée au beau milieu des années 70, entre couleurs pop-art et design minimum des tabourets tulipes en cuir.
- Hélène LAPIOWER: à 29'35, sa rencontre avec Claude PIEPLU pour la pièce de Marie LABERGE "L'Homme gris". - Gabriel GARRAN: à 36'50, la vocation du Théâtre international de langue française, comment il est venu à monter "L'Homme gris" de Marie LABERGE avec Claude PIEPLU. - Jacques ROUXEL: à 56', l'aventure télévisuelle des "Shadoks ". Fichier_02: (au total 57'35): - Claude PIEPLU: à 2'15, histoire de la préfiguration des "Shadoks"; à 13'55, visite de son appartement; à 28'20 (sur le parvis de Beaubourg), dit un texte de CAVANNA tiré des "Ritals" puis dialogue avec les badauds sur son désir de revenir aux spectacles de rue. Le comédien Claude Piéplu est mort - La Libre. - Jacques ROUXEL: à 8', l'origine du graphisme des "Shadoks", souvenir des enregistrements avec Claude PIEPLU. - Les Nouveaux Nez et Claude PIEPLU: à 17'40, leur rencontre à l'Ecole nationale du cirque de Châlons-sur-Marne, l'admiration de Claude PIEPLU pour ces clowns, la conception de leur spectacle. - François CAVANNA et Claude PIEPLU (dans les rues de Paris): à 37'20, souvenirs du Paris de leur enfance, chantent quelques refrains de l'époque.