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2. 3 Phase de tests (Recette informatique) Une fois le(s) cahier(s) des charges fonctionnel(s) terminé(s) et validé(s), on entre dans une phase de préparation des recettes informatiques. Une matrice des fonctions est alors préparée. Il sagit de présenter dans un tableau les grands processus impactés par le progiciel. Pour chaque fonction, des cas de tests sont préparés. Pour chaque cas de test, des jeux de test encore dénommés jeux dessai ou encore jeux de données sont conçus. Il sagit de tester le fonctionnement correct de tous les processus de gestion de lentreprise. Pour ne pas en oublier, une méthode possible consiste à utiliser une matrice des fonctions qui liste toutes les grandes fonctions du progiciel liées à des processus de gestion. A chaque fonction, il faut faire correspondre des cas de tests et à chaque cas de tests des jeux de données. Il sagit par exemple de tester dans le cas d'un contexte comptable(mais cette liste n'a pas pour vocation d'être exhaustive et dépend bien entendu du secteur dactivité et de lentreprise ) plusieurs cas de factures, des factures avec remise et sans remise plusieurs cas de saisie manuelle décritures comptables, des OD (Opérations Diverses), des régularisations dinventaire, des avoirs.
et la matière soumise à prélèvement autoritaire (à partir de quoi? ); la liquidation: c'est le calcul du montant de la dette des redevables qui peut être fait soit par les contribuables (TVA), soit par l'administration (IR et impôts locaux), soit par un tiers (retenue à la source); l'émission de l'ordre de recette: l'ordonnateur émet un titre de perception. Pour les impôts directs, il s'agit d' un rôle nominatif (comportant la liste des contribuables, l'assiette et le montant de l'impôt). Le rôle est rendu exécutoire par arrêté préfectoral. Le préfet peut déléguer ce pouvoir aux services fiscaux. Certains impôts directs ne sont pas perçus par voie de rôle, mais recouvrés directement par les comptables du Trésor (l'IS par exemple). Pour les petites sommes (>30€), l'ordonnateur peut ne pas émettre d'ordre de recette); la phase comptable: ici encore, elle est unique: c'est le recouvrement. Il s'agit du règlement de la dette du débiteur d'une créance publique auprès du comptable public. Le recouvrement peut être amiable (spontané) ou forcé (nécessité de mettre en œuvre des procédures à l'encontre du débiteur, par exemple en passant par l'employeur).
Les opérations d'exécution comportent une phase administrative qui incombe à l'ordonnateur et une phase comptable qui revient évidemment au comptable. L'exécution des dépenses renvoie à la procédure permettant de dépenser l'argent public. Elle est caractérisée par une procédure lourde qui connaît pour cette raison une alternative simplifiée en cas d'urgence. Quant à l'exécution des recettes, elle se fait selon une procédure qui varie selon la nature des ressources perçues (impôts directs ou indirects, autres ressources, etc. ). 1/ L'exécution des dépenses se fait selon une procédure complexe, qu'on appelle le circuit de la dépense, et qui nécessite de distinguer deux phases et quatre étapes: la phase administrative ( art. 28 RGCP): avant d'être payées, les dépenses sont engagées, liquidées et, le cas échéant, ordonnancées: l'engagement ( art. 29 RGCP): c'est l'acte par lequel un organisme public constate à son encontre une obligation d'où résulte une charge. Autrement dit, c'est le fait générateur de la dépense.