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Âgée de 16 ans, elle a été placée en garde à vue puis remise aux responsables du foyer d'où elle était en fugue, à Bron (Rhône).
Deux joueuses de tennis échangent leur maillot à la fin de leur match Cette scène tirée d'une publicité pour un magazine masculin parodie un match de tennis féminin de façon plutôt osée... © Deux joueuses de tennis échangent leur maillot à la fin de leur match Nous sommes à la fin de la finale d'un tournoi de tennis féminin, c'est la balle de match. États-Unis: l'administration Biden supprimera les aides aux repas pour enfants pauvres aux écoles qui empêcheraient des transgenres (élèves ou personnel) d'utiliser les espaces féminins (toilettes, douches, dortoirs) - Fdesouche. C'est à Maparova de servir, elle s'élance et met un ace vainqueur. Heureuse et fair-play, celle-ci demande à son adversaire d'échanger leurs maillots. Les deux joueuses, au physique de mannequin, saluent longuement le public, en toute petite tenue. Vous l'aurez compris, il s'agit d'une publicité pour un magazine masculin.
La Ville de Brossard vient d'interdire toute nudité à l'intérieur des vestiaires de ses piscines publiques. Je me disais bien que ça s'en viendrait. Dans le vestiaire des femmes de la piscine de mon enfance, ils ont affiché des petites pancartes avertissant les nageuses de ne pas se mettre trop à poil, qu'il y a quand même des enfants dans les parages... Enfant, j'allais à la piscine au Centre Lucien-Borne, à côté de chez nous. Dans le sauna, nous, les flounes, restions en costume de bain, mais la majorité des madames se faisaient chauffer nues sur les bancs de bois. Leurs corps me fascinaient. Des gros corps. Des vieux corps. Des maigres avec les seins tombants. Filles nues dans les vestiaires. Des femmes dans la trentaine avec un visage superbe et de la cellulite plein les fesses. Des femmes toutes minces avec une bedaine molle qui avait enfanté. Des poilues d'ici, des poilues de là. Toutes avec cet air de ne pas remarquer que leurs rides de corps, leur bourrelets et leurs poils n'étaient pas cachés à nos chastes yeux.