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Chose qui a réussi... parfois presque trop. » — Alan Stivell, Bretons (magazine) « Le couplet est un dialogue entre les deux chanteurs [Alan Stivell et Shane MacGowan]. Dans le refrain, l'orchestration dense est dominée par la guitare électrique au son saturé et par le violon, qui double les deux voix déjà à l' unisson. Ainsi renforcée, cette mélodie, qui possède une écriture rythmique répétitive et évolue par notes conjointes, est représentative de la musique traditionnelle bretonne de danse. Traduction Suite Sudarmoricaine – ALAN STIVELL [en Français]. L'extrait se termine par un interlude de harpe qui joue un motif arpégé en forme d' ostinato, avec un son et un traitement du temps qui ne sont pas sans rappeler le jeu de la kora, harpe-luth de l'Afrique de l'Ouest, ce qui confirme que le « village mondial » prédit par Marshall McLuhan inclut une dimension sonore où les idées musicales circulent à loisir grâce aux nouveaux canaux de communication. » — Eugène Lledo, Universalis Interprétations [ modifier | modifier le code] La Suite Sudarmoricaine de Stivell apparaît tout d'abord sur un 45 tour en 1971/72 avec Tha mi sgìth sur l'autre face, puis sur l'album mythique À l'Olympia enregistré lors du concert de février 1972.
traduction en français français A suite sudarmoricaine Versions: #1 #2 #3 Au pardon de Spezet, j'avais été Une jeune fille, j'avais trouvé Dans un grand champ, nous avons couché La grande vérole, j'ai attrapé A l'hôpital, j'ai été envoyé Sur une grande table, j'ai été placé Et ma grande queue a été coupée Par la fenêtre, a été jetée Un énorme chien-loup est passé Et ma grande queue, il a mangé Et ma grande queue, il a mangé Et le chien-loup est mort Au pardon de Spezet, j'avais été Une jeune fille, j'avais trouvé