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Dissertations Gratuits: Fiche De Lecture Sur L'Ecole Des Femmes De Molière. Recherche parmi 272 000+ dissertations Par • 6 Mai 2013 • 525 Mots (3 Pages) • 16 241 Vues Page 1 sur 3 Fiche de lecture: L'Ecole des Femmes, Molière (1962/63) Autour de l'oeuvre: Titre complet: L'école des Femmes Auteur (courte biographie): Jean-Baptiste Poquelin plus connu sous le nom de Molière est un célèbre dramaturge français qui vécut de 1622 à 1673. Fils d'un tapissier, Molière fait ses études chez les jésuites avant d'aller étudier le droit à Orléans. Avec Madeleine Béjart, il crée l'Illustre-Théâtre qui est un échec en raison de dettes (en août 1645, Molière est même emprisonné). Cette même année, il quitte Paris pour la province. Il y restera treize ans. En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux devant le roi. C'est la pièce Les Précieuses ridicules (1659) qui lui apporte la célébrité. Molière obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal (à partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu'auteur, acteur et directeur de troupe.
Agnès, croyant que son futur mari est Horace, lui exprime sa gratitude, mais le barbon la détrompe sans ménagement. re Acte III - Arnolphe inculque à sa future épouse les rudiments des devoirs conjugaux, sans oublier les terribles effets de l'infidélité. Agnès semble se résigner à ce triste avenir. Horace rencontre le tuteur qui savoure déjà la déconvenue du jeune homme: les serviteurs lui ont refusé une nouvelle visite, et la belle l'a renvoyé en lui lançant une pierre... à laquelle était jointe un mot d'amour. C'est Arnolphe qui enrage, obligé de reconnaître sa jalousie, et donc son amour; et il aimerait être aimé en retour. Acte IV - Arnolphe, plus que jamais déterminé dans ses projets, donne des instructions drastiques à ses serviteurs, ils doivent refouler le jeune prétendant à coups de bâton. Nouvelle rencontre entre le tuteur et le galant, celui-ci lui apprend qu'il a réussi à s'introduire dans la maison, mais que l'arrivée impromptue de M. de La Souche, a obligé Agnès à la cacher dans une armoire.
J'ai beaucoup voire comment les mariages, les histoires se déroulaient à cet époque. Cela nous permet de voyager et de voir les pas de la société depuis jusqu'à nos jours. Je ne m'en rappelais pas la fin et je pensais que cela allait finir pire. Mais en fait, c'était plutôt une jolie fin même si elle ne peut pas servir à tout le monde. J'ai franchement apprécié ce roman une fois finis. Arnolphe est quelqu'un qui a peur d'être trompé par sa future femme. Ainsi, il a mis à l'abri Agnes pour pouvoir la faire innocente et pour pouvoir se marier avec elle. De nos jours, cela pourrait nous choquer, mais à l'époque, les mariages arrangeaient été courant. Mais ce qui me choque par ce personnage, c'est son manque de courage. Il a peur de ne pas combler sa future femme, il pense qu'elle va le tromper. Je trouve que cela est un manque de courage, d'appréciation de soins. Cela m'a un peu gêné. Horace est un personnage que j'ai beaucoup apprécié par ses paroles, souvent sage, mais aussi son courage et sa patience.
Farce et roman s'enchaînent: la découverte de l'amour coïncide, pour Agnès, avec l'expérience de la ruse. La jeune fille reçoit et envoie des billets tendres, fait monter son amoureux chez elle et décide de s'enfuir avec lui, ce qu'Arnolphe apprend de la bouche même du jeune homme. Pour contrecarrer l'enlèvement romanesque, Arnolphe fait rouer de coups l'amant et croit triompher lorsque Horace lui conte l'aventure et lui demande de surveiller la jeune fille. Arnolphe confie à Agnès son véritable rôle et lui demande de ne point l'abandonner. Mais devant le refus de la jeune innocente, il menace de l'enfermer au couvent. Agnès veut fuir ou se jeter par la fenêtre, jusqu'à ce qu'un coup de théâtre conventionnel résolve l'intrigue: le père d'Horace et son ami Enrique, véritable père d'Agnès (il l'avait confiée à une paysanne miséreuse qui, à son tour, avait mis la jeune fille entre les mains d'Arnolphe), avaient décidé qu'elle épouserait le jeune homme. Arnolphe, dans un « oh! » de stupeur, vide la scène.
Les deux amants sont enfin réunis. 1 2 3 4 5 … pour nos abonnés, l'article se compose de 3 pages Écrit par:: professeur d'histoire et d'esthétique du théâtre à l'université de Paris-X-Nanterre Classification Littératures Œuvres littéraires Œuvres littéraires du xvii e s. occidental Littératures Œuvres littéraires Œuvres littéraires par genres Œuvres théâtrales Autres références « L'ÉCOLE DES FEMMES, Molière » est également traité dans: L'ÉCOLE DES FEMMES (mise en scène J. Lassalle) Écrit par Christian BIET • 1 113 mots L'École des femmes, de Molière. À peine a-t-on prononcé ces quelques mots que tout se met en place. Le premier combat de Molière travesti en Arnolphe, les Maximes du mariage comme passage obligé du tyran domestique, le jeu des quiproquos. Et une pièce jugée éclatante, une comédie […] Lire la suite FRANÇAISE LITTÉRATURE, XVII e s. Écrit par Patrick DANDREY • 7 323 mots Dans le chapitre « La comédie »: […] Entre-temps, la comédie a opéré dans la hiérarchie des jugements poétiques une ascension considérable, au point de rivaliser en considération avec le genre tragique.