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Un choix essentiel mais semé d'embûches nous confie-t-il, car cela n'a pas été simple de trouver des financements pour la réalisation du film avec « des personnages non blanc, une langue très peu connue et des acteurs débutants ». Un choix audacieux et pleinement revendiqué qu'il explique en affirmant « on ne peut pas toujours penser en termes commerciaux ». Un acte fort et une manière singulière de ne pas céder aux codes imposés par l'industrie culturelle et cinématographique. Da Cunha a aussi eu la volonté de partager la richesse musicale du Petit Pays. Pas seulement celle connue de tous comme les chansons de Mayra Andrade ou celles de la diva aux pieds nus Cesária Évora, mais aussi les musiques du terroir, des années 80/90. Celles qui méritent d'être découvertes ou redécouvertes. « Il n'y a pas de misère, seulement des difficultés ». Film fantastique avec de la magie. Le film véhicule un message de résilience sans tomber dans le sentimentalisme ou la dramatisation. La force du quartier et des personnes incarnées par les personnages de la fiction réside dans leur capacité à ne pas se lamenter sur leur sort.
Le film lui, a débuté. Mais sa magie ne nous est pas encore accessible… Alors qu'est-ce qui s'est passé? J'ai rien loupé? Raconte, putain! A présent nos oreilles sont à la hauteur de leurs mains qui fouillent avidement les mangeoires en carton. Ça fait de gros scrontch et de petits scritch. Ça durera près deux heures. Efftets spéciaux — Wikimini, l’encyclopédie pour enfants. Ce Belge du plat pays qui était le sien voyait juste; chez ces gens-là on ne mange pas, Monsieur, on bouffe. On bouffe comme d'autres s'essuient le cul, mais on ne s'étrangle pas. Mon Oncle Benjamin lui, s'est étranglé, sans maïs ni boisson gazeuse, discrètement, sur une plage lointaine, sans déranger. Séquence troisième, intérieur soirée, dans une salle de cinéma. La lumière s'éteint, la magie va nous prendre à nouveau, seulement voilà, un homme et une femme en couple s'installent dans notre rangée à quelques fauteuils seulement. La pénombre, les films annonces. Le festival commence. Leur festival. Notre couple est du genre TF1, chat sur les genoux, chien sur la moquette, infusion bouillante dans les mains.
La nouvelle venue America Chavez (rafraîchissante Xochitl Gomez) possède le pouvoir de voyager d'un univers à l'autre. Celui-ci est convoité par des forces malveillantes. Poursuivie par une sorte de pieuvre cyclope, elle débarque dans l'univers que nous avons vu jusqu'ici dans le MCU. Le D r Stephen Strange (Benedict Cumberbatch), grand sorcier qui a aidé à vaincre Thanos dans Avengers – Endgame, sauve la jeune America et assure qu'il la protégera. Pour y arriver et en savoir davantage sur le multivers, il demande à Wanda Maximoff (Elizabeth Olsen), une autre Avenger, de l'aider. Duo magique Cette dernière vole la vedette chaque fois qu'elle est à l'écran. Maintenant que Wanda embrasse entièrement ses pouvoirs de Scarlet Witch, le personnage s'affirme davantage et Elizabeth Olsen occupe magistralement tout l'espace qu'on lui accorde. La presque totalité de l'émotion du film passe par ses yeux. Impressionnant. O Fim Do Mundo, incursion dans les bidonvilles de Lisbonne | Africultures. Benedict Cumberbatch n'est pas en reste. Son charisme et sa sensibilité permettent de croire en l'omnipotence de Doctor Strange, sans lui enlever sa vulnérabilité.