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Dim est une marque de lingerie qui fabrique encore une partie de ses collants dans leur usine d'Autun en Bourguogne. La folle histoire du collant commence avec la découverte du Nylon en 1935. Cette découverte, on la doit à Wallace Carothers qui travaillait alors chez DuPont de Nemours. Bien que le nom sonne très français, Dupont est une entreprise américaine, fondée à Wilmington, dans le Delaware. Ainsi les premières lignes de production naîtront aux Etats-Unis. Usine de fabrication de sous vêtement technique. Les bas en nylon arriveront en Europe au cours de la Seconde Guerre Mondiale, importés par les GI américains. En France, en 1958, Bernard Giberstein crée la société des Bas Dimanche. Lors de la collaboration entre Publicis et Bas Dimanche en 1965, la marque se transforme en « Dim », plus simple à retenir. Dim s'illustrera dans l'innovation avec, dans les années 80, la révolution du Lycra, puis en 2009, le modèle Body Touch pour ne pas enserrer la taille. Aujourd'hui Dim possède toujours son usine historique à Autun, en Bourgogne, pour la fabrication de collants et de bas.
Même si aujourd'hui les féministes luttent pour se libérer de ce soutien-gorge inventé, paradoxalement, par l'une de leurs ancêtres. Autre temps, autres mœurs d'autant qu'au début du XXème siècle, la société patriarcale n'est pas pressée que les femmes se mettre à décider, y compris de leurs sous-vêtements. Vendeur / vendeuse en prêt-à-porter f/h Quimper | Job Doe. Il va lui falloir 20 ans pour réussir à ouvrir un atelier de lingerie afin de le fabriquer et de l'améliorer jusqu'en 1924, date de sa mort. Mais sa maison, la Maison Cadolle, existe encore aujourd'hui et continue l'œuvre d'Herminie, cette illustre inconnue qui désormais ne l'est plus. L'actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S'abonner à la Newsletter RTL Info
Pour éviter toute ambiguïté, ce n'est pas parce que les bords du tissus sont cousus que la toile est meilleure. C'est juste une caractéristique. Mais une caractéristique qui est intrinsèquement liée aux métiers à tisser traditionnels, qui travaillent à l'ancienne. Maintenant, pour des raisons de vitesse et de coûts, les tisseuses utilisent l'air ou l'eau à la place des traditionnelles navettes, pour conduire les fils. On y gagne en productivité, en régularité …. mais on ne peut pas faire du haut de gamme avec. On retrouve d'ailleurs la même chose sur la fabrication des fils. Les Japonais ayant appris à travailler le coton depuis le début de l'ère Meiji.. Sous-vêtements : la création engagée du soutien-gorge par Herminie Cadolle. le Japon ayant un immense savoir faire dans la teinture à l'indigo … le Japon étant le leader mondial du zip (YKK), il y avait une certaine logique à ce qu'il devienne un acteur majeur de la production et de la mode du jeans. En Italie, sinon, on peut citer Candiani. Enfin, pour finir, il y a plusieurs méthodes pour faire du "selvedge".