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On est perdu!! :( Merci de nous aider!! Qui doit-on contacter pour s'en débarasser? Merci beaucoup.
Les traces rouges sur les façades apparaissent au bout de quelques années, cette pathologie est due à l'âge, à l'augmentation de la porosité des enduits monocouches et dans certains cas à la présence de pyrite. 1. Des algues Les traces rouges sont le résultat de la symbiose d'une algue et d'une bactérie. Ce phénomène ne touche que les façades exposées au mauvais temps, généralement à l'ouest. Les traces rouges résultent donc du vieillissement des enduits. Plus leur porosité est importante, plus ils absorbent l'eau, créant un milieu adéquat à leur développement. Si aucun traitement n'est réalisé, les algues prolifèrent de façon exponentielle. Avec l'augmentation visible des traces sur les façades. Le mur porteur de la Maison rouge – Libération. Si on attend trop avant de traiter, des infiltrations d'eau peuvent se développer et réduire la durée de vie de l'enduit de la façade. Leur apparition se fait au bout d'une dizaine d'années, voire plus précocement dans le cas de lavages à haute pression mal maîtrisés (buse trop proche du mur notamment).
Comme il y a quelques mois avec 'Théâtre du monde', la Maison Rouge s'applique une fois encore à bousculer nos habitudes en proposant une exposition loin des habituels parcours balisés. Cette fois, pour fêter les dix ans du lieu, c'est la collection de son fondateur, Antoine de Galbert, qui est l'objet de toutes les attentions - plus exactement une partie de sa collection, environ un millier de peintures, dessins, photographies ou petites sculptures, bref, tout ce qui peut se mettre au mur. Quant à l'accrochage en lui-même, il a été réalisé par un logiciel qui a choisi, aléatoirement, où se plaçait telle ou telle œuvre, selon sa taille et son numéro d'inventaire. Le mur maison rouge française. Le résultat de ce procédé basé sur le hasard ressemble à une frise immense et interminable, un « mur » d'art de trois mètres de haut, qui voit se côtoyer des pièces du monde entier et de tous les styles, Antoine de Galbert ayant bâti sa collection avec une curiosité et un iconoclasme évidents. Anders Petersen, Henry Darger, Jochen Gerner, Eadweard Muybridge, Gilbert & George, Jan Fabre, Hans Bellmer et plusieurs centaines d'autres artistes se frottent, se répondent, s'affrontent au fil d'un parcours dantesque où se tissent des liens inattendus entre des noms qui n'auraient eu que peu de chance de se rencontrer si la scénographie avait été froidement organisée.