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#4 [hors sujet] Ho un monsieur sur madmoizelle? [/hors sujet] #5 La mad' à l'origine du post ne serait pas un mec? Parce que si c'est une fille qui raisonne comme ça, c'est pas étonnant qu'il y ait encore tant de différences mecs/filles. Ca me désole. Alors si tu veux savoir (bon, mon décolleté à moi n'est jamais qu'une poche B, m'enfin) je porte des décolletés pour me faire plaisir avant tout. Parce que je me sens jolie comme ça, et parce que j'aime qu'on me regarde. (ouais, j'aime même qu'on mate mes seins, ouh la salope, didonc. ) Je les porte aussi parce que mon homme trouve ça joli, sexy, attirant. Et aussi parfois, parce que j'ai envie de me voir attirante dans le regard des autres. Il mate les décolletés les plus profonds. Et quand bien même ça serait un message purement sexuel qui serait envoyé, tu me dis ou est le mal? (ça me fait penser à une copine qui m'a dit qu'avec ma blouse l'autre jour, bien échancrée, je faisais salope. J'ai dit: "mais c'est parce que j'en suis une". C'était ça, ou lui en coller une. Putain, merde, réagissez là, ce genre de sujet, ça fait peur. )
Dans la foulée du débat sur le harcèlement sexuel provoqué par l'affaire Marcel Aubut, le Doc Mailloux affirme que certains gestes restent acceptables, comme regarder les seins d'une femme si elle porte un décolleté. «Pourquoi tu penses qu'une femme montre le tiers de ses seins? C'est pour qu'on les regarde», dit le Dr Pierre Mailloux. Le psychiatre controversé parle de liberté d'être de l'homme. «La femme peut porter ce qu'elle veut, mais qu'elle l'assume. » Il croit que la société aurait intérêt à définir clairement ce qui est acceptable, disgracieux, inacceptable et condamnable. Reluquer le corps d'une femme ne tomberait que très rarement dans l'extrême, selon lui. «Je regrette, mais je ne m'empêcherai pas de regarder une belle paire de fesses. » Le docteur a fait cette sortie lundi pendant l'émission matinale de FM 106. Il mate les décolletés plongeant. 9, en Mauricie. Des propos clairement dépassés et archaïques, selon la journaliste, auteure et chroniqueuse Lise Ravary. «Bon! On a un autre "mon oncle". Il va falloir tenir un registre, bientôt.