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« En plus la programmation est vraiment bien. Je me retiens d'y aller parce que je veux avant tout pouvoir être tranquille chez moi », avoue la septuagénaire.
(Le Télégramme/Gwen Rastoll) 4/12 Des jouets et quelques sourires pour des enfants jetés sur les routes par la guerre. (Le Télégramme/Gwen Rastoll) 5/12 Des réfugiés ont reçu un petit sac contenant des friandises et des jouets: de quoi redessiner des sourires, même fugaces, sur le visage des enfants. (Le Télégramme/Gwen Rastoll) 6/12 Pierre-Yves Héleut, qui gère sa société de ressources humaines à Varsovie, a accepté de mettre entre parenthèses son travail depuis un mois, aidant chaque jour les réfugiés ukrainiens. (Le Télégramme/Gwen Rastoll) 7/12 Pierre-Yves, Marina et Sonia: l'équipe de coordination du jour pour les réfugiés souhaitant gagner la France. (Le Télégramme/Gwen Rastoll) 8/12 « Notre rôle est de sécuriser les voyages vers la France ou les autres pays », explique Pierre-Yves. Pierre qui aide à dormir dans. Femmes, enfants, personnes âgées et handicapées sont prioritaires pour « l'embarquement ». (Le Télégramme/Gwen Rastoll) 9/12 Marina a tout quitté, et attend de rejoindre l'Angleterre pour s'y construire une nouvelle vie.