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Pour vous aider, je vais vous donner un exemple personnel. Je suis sorti pendant 2 ans avec une femme qui ne savait pas si elle voulait faire sa vie avec moi ou pas (et pourtant, elle était trentenaire …). J'ai rompu avec elle car j'en avais marre de son indécision. Je suis parti en quête d'une femme qui voulait être avec moi. Je suis sorti avec une autre femme qui est tombée amoureuse de moi. Mais elle était très jalouse et elle m'a trompé … Je l'aimais mais j'ai fini par rompre à cause de cette notion de confiance et car je déteste la jalousie. Avec ces deux histoires, voici quels critères j'ai retenu pour mes futures relations: une femme qui sait ce qu'elle veut (au bout de 2 mois, il faut lui laisser le temps quand même…) une femme de confiance une femme qui n'est pas jalouse une femme simple et gentille, car ce sont des qualités que je recherche et bien sûr une femme qui me plait physiquement. C'est important. il ne faut pas nier ce critère mais je ne pense pas qu'il faille le lister car on ne peut pas le considérer comme une qualité.
Mais ton rôle n'est pas là et tu ne le rendras pas plus heureux en te forçant à rester avec lui. Oui, tu vas le faire souffrir si tu le quittes, mais dans toute rupture, il y a de la souffrance et ce, des deux côtés. Je ne suis plus heureuse dans mon couple: Que faire? Ecoute-toi, ne cherche pas à être la femme parfaite qui ne fera jamais de mal car ce n'est pas possible. Ne gâche aucune précieuse année de ta vie pour un homme que tu n'aimes plus. Parfois, on aimerait que ça remarche, que tout redevienne comme avant, mais on a tellement changé nous-même que ça en devient impossible. Fais-toi confiance et assume tes choix, tu verras que ton coeur sera beaucoup plus léger. En espérant t'avoir aidée Clémence! 🙂 Léa Cet article a suscité des réactions puisque 2 lecteurs ont laissé un commentaire. Vous aussi, participez à la conversation, partagez votre point de vue, votre accord, votre désaccord dans les commentaires. Ce site est fait pour ça;) Tous nos nouveaux textes dans 1 e-mail/mois Rejoignez mes lecteurs privilégiés et recevez une fois par mois un e-mail rassemblant mes nouveaux articles et mes conseils amoureux.
J'en ai aidé beaucoup à se défendre, à leur expliquer des lois qu'ils ne comprenaient pas. Dans ces cinq années, j'ai eu six mois de bracelet électronique et c'est la prison à la maison, le week-end, vous êtes enfermés. Je devais rentrer à 18h le soir, vous êtes tout le temps sur le qui-vive. C'était très anxiogène. France Dimanche: On vous catégorise comme "escroc repenti et ruiné", quel est votre quotidien depuis votre sortie de prison? GZ: Je n'ai jamais fait appel de mes condamnations, j'ai accepté et je méritais une peine lourde. En revanche, je n'accepte pas le terme d'escroc. J'ai fait une fraude fiscale à grosse échelle. Le code pénal prévoit cinq ans pour ces faits, mais comme notre fraude était gigantesque, les magistrats ont passé cela en escroquerie en bande organisée. Dans ce cas, le code pénal prévoit dix ans de détention et si vous êtes en récidive, ce qui est mon cas, c'est vingt ans. Moi, je ne me considère pas comme un escroc. France Dimanche: Comment vivez-vous aujourd'hui?
Et qu'il ne faut pas se tromper d'objectif: lorsque l'on va mal, le but des activités agréables n'est pas de nous rendre heureux, mais d'empêcher le mal-être de s'aggraver ou de s'installer. Pas de perfectionnisme ni d'obsession du bien-être Flaubert, en parlant du bonheur, écrivait: « As-tu réfléchi combien cet horrible mot a fait couler de larmes? Sans ce mot-là, on dormirait plus tranquille et on vivrait à l'aise. » (in Dictionnaire des idées reçues, Maxi-Livres) Inutile de prendre le cher Gustave à la lettre, mais tout de même… La recherche du bien-être ne doit pas virer à l'obsession, et le droit au bonheur – inscrit par exemple dans la constitution américaine – ne doit pas se transformer en « devoir de bonheur », selon l'expression de l'écrivain Pascal Bruckner. D'autant que le sentiment de malheur, qui fait partie de l'existence, peut parfois être utile, en nous faisant réfléchir; ou nécessaire, en nous faisant ouvrir les yeux sur des réalités désagréables. Nous ne pouvons pas éviter sa rencontre, mais il est à notre portée d'en faire un bon usage.
Je savais ce qui allait fonctionner avant les autres, et je me positionnais toujours sur des marchés où la demande était plus forte que l'offre. France Dimanche: Aviez-vous rêvé de cette vie? GZ: Je n'avais pas eu le courage à l'époque, mais mon rêve, c'était d'être artiste. Je n'avais pas de soutien dans ma famille pour le faire donc je me suis résigné à faire ce que je savais faire. Moi, je rêvais de Tom Cruise, de Michael Jackson, de George Michael, de Jean-Paul Belmondo, de Robert De Niro... Pour moi, "Il était une fois l'Amérique", c'était le plus beau film de tous les temps. Je rêvais de ces artistes qui marquaient leur temps, personne ne les égalait. Dans un autre registre, j'étais un immense fan de Thierry Mugler, j'ai eu beaucoup de peine lorsqu'il est parti. France Dimanche: Votre nom a été ultra médiatisé pour l'affaire de l'arnaque à la taxe carbone. Dans le documentaire Netflix, on vous a dépeint comme le cerveau de l'affaire. Qu'en pensez-vous? GZ: Si je vous dis que ce n'est pas vrai, ce serait un mensonge.
Alors, modèle d'échec social? Femme célibataire (ou lesbienne), sans enfants. La première femme peut très bien avoir raté sa vie en ayant mari et famille. La deuxième peut avoir réussi sa vie en étant seule (ou avec une femme). Dans ce cas, tout est question d'auto-accomplissement et d'épanouissement professionnel, sexuel et émotionnel. Déterminer si le résultat est un échec ou non dépend de certains paramètres. Vous devriez donc vous interroger sur les paramètres que vous vous imposez quand vous estimez avoir échoué. Ne sont-ils pas un peu sévères, injustifiés ou inadaptés? Tout le monde n'est pas fait pour vivre en groupe. Le tout est de savoir si vivre en collectivité vous procure un certain bien-être ou non. J'ai noté ceci: "comme si je n'avais aucune personnalité" Savez-vous seulement qui vous êtes? Quand vous vous regardez dans la glace (si seulement vous le faîtes), qui voyez-vous? Interrogez-vous sérieusement là-dessus. J'ai noté ceci aussi: "je me sent pas à l'aise avec des gens trop différent de moi" C'est parce que vous ne percevez pas ce qu'ils peuvent vous apporter.