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Pensées: 2 Septembre 2017 Rédigé par nicolas et publié depuis Overblog Il faut avoir le courage de changer ce qui ne va pas dans sa vie. Prendre des décisions. Aller contre soi-même si nécessaire. Contre la facilité, les habitudes. Le courage de choisir 2018. Écouter la voix de sa conscience. Peser le pour et le contre. Se souvenir que tout choix implique un renoncement, et que vivre, c'est choisir. Puis lorsqu'on a bien réfléchi, marcher d'un pas sûr vers ce qui nous rendra plus heureux. Partager cet article Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous:
La pudeur montre notre témoignage du Sauveur et de l'Évangile de Jésus-Christ. Comme ils sont beaux et comme ils sont bénis ceux qui sont guidés par le Saint-Esprit, ceux qui se protègent des voies du monde et qui sont les témoins de Dieu au monde. Et bénis sont ceux qui illustrent la doctrine de la pudeur pour tous les fils et filles de Sion, et qui la leur enseignent. Quand nous faisons alliance de suivre le Sauveur et désirons recevoir la plénitude des bénédictions de son expiation, il n'y a vraiment qu'une seule tenue vestimentaire qui compte. Moroni a écrit: « Réveille-toi, et lève-toi de la poussière […] oui, et revêts tes habits de fête, ô fille de Sion; […] afin […] que les alliances que le Père éternel a faites avec toi […] s'accomplissent » ( Moroni 10:31; italiques ajoutés). Les habits de fête sont les robes de la justice portées par les personnes qui ont respecté leurs alliances. Préparons-nous nos enfants à revêtir ces beaux vêtements? Le courage de choisir - le courage de choisir. Je témoigne que le salut est en Christ et que les personnes qui respectent leurs alliances « auront la connaissance parfaite de leur bonheur et de leur justice, étant revêtus de pureté, oui, du manteau de la justice » ( 2 Néphi 9:14).
Et cela reste vrai aujourd'hui. Comme le souligne le Parti de la gauche européenne, dont sont membres en France les composantes du Front de gauche, « la période qui s'ouvre est celle d'une alternative: ou bien l'abandon de toute ambition sociale et démocratique, ou bien la rupture avec la domination des marchés financiers ».
Trouvant qu'un certain nombre de prêtres séculiers marqués par l'épreuve du communisme, ne quittent guère l'espace sacré de leur église, il choisi la vie religieuse pour pouvoir aller planter sa tente là où vit son peuple. Le père Kolbar pense qu'il est important de tenir compte de l'histoire pour déterminer lucidement une pastorale. La monarchie austro-hongroise a fait de l'Eglise tchèque un instrument d'éducation de la population. Les prêtres qui étaient payés par l'état étaient souvent perçus comme des fonctionnaires. Lors de son séjour à Rome, le père découvre le même risque pour les prêtres formés dans la ville sainte. Le courage de choisir des. Il trouve que les diverses universités catholiques 'forment plutôt des futurs cadres de l'administration que des chercheurs en théologie ou en philosophie'. Pour lui, l'Eglise - institution a la tentation de vouloir durer en s'appuyant sur des gestionnaires et non sur des figures prophétiques avec leur esprit critique et indépendant. Des problèmes entre l'Etat et l'Eglise surgissent actuellement en Tchéquie: les défenseurs de la tradition, cessant d'être un signe de la foi qui pose questions sans cesse, ont comme priorité de récupérer les biens de l'Eglise confisqués durant le régime communiste.