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« Qui regardes-tu d'autre, cochon? », ai-je continué. « Ma mère? La tienne? Ou peut-être ta sœur, qui a un si beau cul… » « Non, arrête, m'as-tu répondu. Je ne regarde que toi, la plus belle! ». Vil flatteur! Mais tu m'avais convaincue. Je t'avais assez titillé, après tout, et il était temps de te donner de belles choses à voir… Je me suis allongée sur ton lit, qui sentait si bon ton parfum et ta sueur mélangées. Là, je me suis exhibée dans tous les sens. Le cul, la chatte, fermés, ouverts… Je me suis bien sûr tripotée en même temps, la situation étant également très excitante pour moi. Au début, tu es resté là, bouche bée, pendant que je tournicotais sous ton nez. Inceste / Tabou - Histoires de Sexe 🍓 Histoires-de-Sexe.club. Hum…, comme j'ai aimé voir ta queue très dure tendue vers moi, sans avoir le droit d'entrer là où elle le souhaitait. Et puis, au bout d'un moment, c'est devenu cruel. Tes couilles devaient te faire si mal! Je t'ai regardé en souriant et j'ai fait: « Viens près de moi, si tu veux. Je t'autorise à te branler. » Pas besoin de te le dire deux fois!
Elle plante son regard dans le mien, recule le temps de me dire "donne moi ton foutre et se remet à me pomper sans me quitter des yeux. Je prends sa tête à deux mains et me mets à baiser sa bouche vorace de plus en plus vite, une minute plus tard je jouis dans sa bouche en poussant des grognements de plaisir. Elle avale ce qu'elle peut mais son menton fini couvert de sperme. – "Putain ce que c'est bon! Tu suces comme une reine! " -"La reine va prendre une douche et elle va te rejoindre dans ton lit pour que tu la baises comme elle le mérite. Trio en famille | Histoires de sexe soeur, Histoires de sexe viol. " Je m'allonge nu sur le lit les mains sous la tête, je ferme les yeux et j'attends. Après la douche et un bel orgasme, je ne tarde pas à sombrer dans un semi sommeil dont la sensation d'une langue sur ma queue me tire délicieusement. Vanessa entreprend de me refaire bander en me suçant avec avidité et tendresse. Quand ma queue est parvenue à un niveau de rigidité qui la satisfait elle s'accroupit dessus en m'accueillant jusqu'aux couilles dans sa chatte brûlante.
Quand j'arrive dans le salon, c'est pour constater que Madame Lanfourne est de retour. Elle me lance un regard mauvais en voyant l'état de ma robe, puis elle me saute dessus avec hargne. — Qu'est-ce que tu as Auteur: Elisa M Confinement avec mon neveu (1) 30/05/2022: Cette histoire est purement imaginaire. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n'est qu'une coïncidence. Je m'appelle Menel ben Hammara, j'ai trente-cinq ans et je suis écrivain, je vis seule, je travaille à la maison. Une belle maison avec un grand jardin que j'avais hérité de mon mari qui est décédé d'un cancer fulgurant de la prostate il y a tout juste dix mois. Pour Auteur: XYaimeXX Mère, fils et le covid (1) 28/05/2022: — Salut! Histoire de cul : famille en sieste crapuleuse partie 1. Marc. A très bientôt, j'espère. Voilà les derniers mots d'un copain du boulot me disant au revoir sur le quai de la gare de Lisbonne. Cela fait maintenant deux ans que je ne suis pas rentré chez ma mère qui vit désormais seule depuis le divorce de mes parents, il y a cinq ans. Ceci ne m'enchante guère, mais covid oblige, je n'ai pas le choix.
Et son père et sa mère ainsi que moi même goûtons ma semence Drôle de famille où je commence à prendre mes habitudes sexuelles, surtout avec papa.
sa chatte est trempée et brûlante. cela faisait une semaine que je rêvais de la baiser comme ça. J'ai toujours adoré cette position et me femme aussi. Pendant que je vais et viens je sens la main de Vanessa qui commence à me caresser les couilles. J'écarte les jambes pour lui donner un meilleur accès et elle en profite pour se saisir de mes couilles d'une main et de l'autre m'enfoncer deux doigts loin dans le cul. Elle me malaxe les bourses pendant qu'elle me masse la prostate. Il ne me faut pas plus de trois minutes de ce régime pour que j'éjacule à longs traits tout au fond de la chatte de Caroline. Sans doute désireuse de se faire pardonner par sa mère ou plus probablement très excitée, Vanessa retourne sa mère sur le dos et lui lèche la chatte pour essayer de boire mon foutre.
Les deux dormaient profondément, et je m'approchai doucement pour la mater, je ne fais pas de bruit et je m'approche de son corps nu, c'était magnifique, elle devait faire du 90B et j'avais envie de la toucher, de les toucher. Soudain j'ai effleuré son corps avec ma main, car après tout je ne voyais pas le mal, ma main passe sur ses cuisses et fesses, de toute manière le string ne cache pas grand-chose, je voyais pleinement ses jolies fesses bien rebondies, ces fesses que j'avais envie de pénétrer analement. elle ne se réveillait pas, alors je continue de la caresser pendant que ma sœur dormait. J'avais envie de Chloé j'avais envie de la baiser, et soudain je ne sais pas ce qu'il m'a pris, j'ai tiré délicatement le string pour voir la raie de ses fesses. Chloé a remué un petit peu mais ne se réveillait pas, je pouvais poursuivre, continuer, enlever totalement son string: Elle était enfin totalement nue devant moi: je sortais alors ma queue et je me mis à me branler doucement, avec la peur que les filles se réveillent: ça m'excite énormément à cet instant et je continue de me caresser et je vais de plus en plus loin.
Alors j'ai pris le relais en expliquant qu'il fallait d'abord qu'elle se laisse mettre un doigt et qu'elle y prendrait certainement goût. Elle a eu un petit sourire crispé. Pour ma part, je ne pensais pas qu'un jour, je conseillerais à tantine de se laisser mettre un doigt dans le cul… Ma copine est partie à la cuisine, j'en ai profité pour dire à tata que j'avais habitué sa nièce à ne plus porter de culotte, pour qu'elle soit toujours disponible. Quand elle est revenue, sa tante lui a donc demandé, vivement interloquée: « Tu ne portes plus de culotte? _ Oh non! » Discrètement, sous la table, j'ai passé une main sur la cuisse de ma copine, puis j'ai remonté, jusqu'à ce qu'elle écarte les jambes. Je lui ai mis un doigt, puis deux. Elle a eu un grand sourire. J'ai poussé mon avantage jusqu'à mettre un doigt dans son petit trou, par en-dessous. La polissonne qui s'amusait beaucoup de se faire doigter n'a pas pu s'empêcher une petite bravade: « Tiens, tantine, il vient tout juste de me mettre un doigt, par exemple.