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J'aurais dû partir, mais la scène a quelque chose d'irréel. J'ai l'impression d'être dans un film. Je me suis remise à ma place initiale, en me décalant un petit peu pour les distinguer à travers les feuillages. Je suis restée là deux minutes, pas plus, mais j'ai eu le temps de le voir soulever la jupe de sa copine et déboutonner son short. J'ai préféré partir, le côté voyeuriste me mettait mal à l'aise. Mais en rentrant j'ai appelé mon copain pour lui raconter, et encore aujourd'hui, quand je repense à cette scène, je ressens une sorte de mélange de culpabilité et d'excitation, surtout d'excitation… Sonia, 31 ans Ses mains qui me cherchent… Pour l'été de mes vingt ans, je pars avec mon groupe de copains de fac en vacances. Le contrat était clair: camping, fête, pas de chichis et pas de prise de tête. Pour moi c'est les premières vacances entre amis sans parents. Je suis aux anges. Elle adore se filmer quand elle se caresse. Sans un mot, il me touche Au début du séjour, je suis réveillée pendant la nuit par Thomas, un des garçons du groupe à qui je n'ai jamais vraiment fait attention, qui dans son sommeil a posé son bras sur moi.
Il y a des moments de pure sensualité qui marquent à jamais. Une zone érogène insoupçonnée, révélée par pur hasard alors qu'une main aventurière l'effleure. Un baiser puissant, qui fait tressaillir tout le long du corps. Une façon nouvelle de se laisser caresser, mordiller. Des situations qui font littéralement perdre les pédales. Sans fausse pudeur, ni machisme primaire, des hommes volontaires nous ont confié ce je-ne-sais-quoi qui les a rendu fous ou qui continue à les faire vibrer encore aujourd'hui. Et surtout chacun d'entre eux a raconté comment il aimait qu'on le touche. Un peu partout et minutieusement. Ou à un seul endroit bien choisi. Un téton mordillé, une sensation inoubliable Le premier à se lancer s'appelle Adrien. À 38 ans, il raconte avoir vécu une expérience sensorielle unique avec une fille blonde qui avait de très grands yeux verts et des seins sublimes. "Je ne la connaissais pas quelques heures auparavant, elle m'avait attrapé, au cours d'une soirée, par un regard tellement charnel qu'il était impossible de ne pas la suivre.