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Le Temps Qui Reste Hugo Becker

Enfant Amérique Du Sud

Ce lundi 21 février 2022, deux nouveaux épisodes de la série Je te promets ont été diffusés sur TF1. L'occasion pour la famille Gallo de rendre un dernier hommage à Paul, le père de famille. Si on pensait avoir versé toutes les larmes de nos corps en découvrant les circonstances de la mort de Paul, dans Je te promets, série à succès de TF1, on ne s'attendait pas à ce que la famille Gallo rende un hommage si poignant au père de famille. Ce lundi 21 février 2022, le nouvel épisode diffusé a été l'occasion de voir l'enterrement de Paul et, une fois de plus, nombreuses sont les scènes qui ont été bouleversantes. Parmi celles-ci, il y a ce moment où Florence et ses enfants répandent ses cendres. On y entend alors Hugo Becker, qui joue Paul, réinterpréter Le temps qui reste de Serge Reggiani. Hugo becker le temps qui reste. Bien évidemment, le choix de cette chanson n'a pas été laissé au hasard. En réalité, c'était une idée d' Hugo Becker et d'Aline Panel, la productrice de la série. "C'est une chanson qui compte énormément pour moi, que j'ai beaucoup écoutée il y a quatre ans dans une période de deuil, au moment où j'ai également découvert This Is Us", a confié la productrice à Allociné.

« Ce Qui Me PlaîT Le Plus Chez Paul, C’est Son Humanité », Dit Hugo Becker | Tf1 - TéLéVision

C'est une chanson d'acteur. Serge Reggiani c'est un acteur. J'étais pour, donc je lui ai dit de foncer et il l'a faite brillamment. C'était un peu une évidence pour Hugo comme pour moi. ». Le Temps Qui Reste. C'est bien après le tournage qu'Hugo Becker a enregistré cette chanson dans les studios Fabrice Aboulker. Un moment, qui selon lui, restera gravé dans sa mémoire. « Compte tenu des paroles et de l'intensité nécessaire qu'il fallait mettre dans ce texte, c'était un moment suspendu que je n'oublierai pas, je crois. », déclarait le comédien à Allociné.

Le Temps Qui Reste - Espace Culturel Victor Hugo - By Night

Entretien Hubert Heyrendt, à Paris Il faisait beau à Paris il y a une quinzaine de jours. Dans une jolie rue du 7e arrondissement, rendez-vous est pris vers 15 h avec Jean Becker au restaurant "Le violon d'Ingres". Quand on arrive, la conversation n'est pas terminée. C'est que le cinéaste est en bonne compagnie, aux côtés du chroniqueur gastronomique Jean-Luc Petitrenaud, dont les "Escapades gourmandes" sur France 5 sont un vrai régal - tous deux mijotent une idée de film... Le repas a visiblement été agréable et Becker poursuivrait bien avec une petite goutte. C'est donc en sirotant un armagnac 1974 qu'il aborde "Deux jours à tuer". Par rapport à vos derniers films, "Deux jours à tuer" surprend. Occupe-t-il une place à part dans votre filmographie? Je ne crois pas qu'il détonne. Un sujet de film, c'est comme une aventure féminine. Il faut être séduit. Le temps qui reste hugo beckerman. Dans ce roman, c'est l'idée maîtresse qui m'a séduit. Je ne sais pas si j'aurais pu réagir d'une façon aussi forte et définitive qu'Antoine.

Le Temps Qui Reste

Que retenez-vous de votre participation à Leonardo (diffusée le lundi sur France 2)? C'était fou et génial. Je n'ai jamais vu des décors pareils et une telle machinerie. J'ai un rôle minime, un guest dans l'épisode 3. Mais j'ai adoré jouer ce personnage insolent qui ne respecte aucun code. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités

Le rythme, la violence, les comédiens font penser à un film de jeune homme... C'est flatteur pour un mec de 75 berges... Mes deux ou trois derniers films se passaient à la campagne, avec des gens du terroir. Le fait que cela se passe à Paris rajeunit peut-être un peu les choses. Et puis, j'ai perdu mon poteau Jacques Villeret. Albert Dupontel, ça a été une rencontre. Encore maintenant, c'est un ami, même si "Bernie" est loin de ce que je fais. Il est angoissant, mais quand il doit être touchant, il est formidable. Cela vous a-t-il amusé de jouer avec le mystère qui entoure les motivations réelles du personnage? Le suspense ne m'intéresse pas. Je l'ai posé pour des raisons de scénario. On s'est posé la question de savoir si l'on annonçait ou pas la couleur dès le départ, mais c'est mieux si l'on ne comprend pas tout de suite pourquoi il agit de la sorte. « Ce qui me plaît le plus chez Paul, c’est son humanité », dit Hugo Becker | Tf1 - Télévision. Mais je sème des petits cailloux pendant tout le film. Des gens peuvent très rapidement deviner, et même si c'est le cas, ce n'est finalement pas gênant parce qu'on peut suivre sa démarche.

Thu, 01 Aug 2024 07:59:17 +0000