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Les Frères Houblon Microbrasserie - Trois-Rivières, Qc - Brewery Beer Beer List | Untappd

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Les trois frères Houblon, Demi, Pinte et Girafe sont nés au temps reculés de l'ancienne Gaule. Leur père, le druide Bière Brasseur, inventa un jour une boisson fermentée destinée à être bue les jours de fête: La cervoise. Un jour que le druide était parti dans la forêt, ses trois fils qui n'avaient pour seul habit qu'un petit tonneau de bois tellement ils étaient pauvres, s'approchèrent du grand chaudron de fermentation et tombèrent dedans. Le soir, Bière Brasseur retrouva ses trois fils hilares en train de flotter dans la cervoise. On ne sut jamais quelle quantité ils avaient bu mais les tonneaux avaient gonflé et on ne put jamais les retirer, les trois malheureux était devenus des hommes-futs! Après avoir atteint l'âge adultes, ils ne vieillirent plus et traversèrent les siècles jusqu'à venir aujourd'hui à votre rencontre. En mémoire de leur père, la cervoise fut appelée bière. Mi lutins, mi tonneaux, les Frères Houblon apportent avec eux la bonne humeur des soirs de fête. Ils chantent, ils accueillent les invités, ils déambulent la chope à la main en totale interactivité.

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On peut estimer à 15-20 kilos de matière sèchée alors qu'on devrait en avoir 5 fois plus. ", constate Geoffroy en commençant à faire tourner le sèchoir. Ce sèchoir, une grosse soufflerie avec des tamis superposés, c'est une construction "maison". Après une grosse journée de travail et quelques heures de sèchage, le houblon sera prêt. Le premier brassin est prévu mercredi au Brewlab à Verviers (collectif d'artisans brasseurs). Dans un mois, on pourra déguster la Grev Ale, une bière impériale type IPA qui tournera dans les 9 degrés. Une bière de caractère qui doit son nom au lieu dit où se déroula, selon la légende, le dernier sabbat des macrâles locales: les grevâles. Une bière qui risque d'ensorceler ceux qui ne la consommeront pas avec modération. Un sèchoir artisanal que les frères ont construit eux mêmes.. Quelques heures plus tard, le houblon sera prêt à partir en brasserie son))

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Rien ne prédestinait André Trudel et Isaac Tremblay, deux enfants du pays qui ont fait les 400 coups à l'école secondaire de Saint-Mathieu-du-Parc, à créer une microbrasserie connue jusqu'à l'autre bout du monde. Dans les années 1990, André travaillait derrière les fourneaux d'un restaurant mexicain de sa ville natale. Ayant commencé à brasser de la bière dans son sous-sol, il décide de partir en Europe se perfectionner à l'art du brassage. À son retour au Québec en 1999, sa décision est prise: il sera maître-brasseur. Après une expérience d'assistant-brasseur, il lui vient l'envie d'avoir sa propre brasserie. À l'époque, Isaac, machiniste sur des plateaux de tournage à Montréal, s'ennuie de la campagne mauricienne. Il accepte alors d'aider son ami d'enfance à se lancer dans la production de bière de microbrasserie. «Ça s'est révélé plus compliqué que je le pensais», avoue en riant celui qui dirige aujourd'hui le développement des affaires. En ce changement de millénaire, si Unibroue ou les bières Boréale ont déjà ouvert la voie au Québec, la bière de microbrasserie reste très marginale.

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Si la microbrasserie tient à utiliser des ingrédients de qualité, le secret de son succès réside aussi dans la bibliothèque d'une vingtaine de levures qu'elle a développée, chaque levure ayant sa signature. En plus des bières régulières, Le Trou du diable produit également des brassins spéciaux, vieillis en fût de brandy de pomme, de bourbon américain ou encore de vin blanc. La cidrerie Michel Jodoin fut l'une des premières à fournir des barils usagés au Trou du diable. Puis, un jour, un client de passage s'intéresse aux barils entreposés dans le pub. Il se trouve que ce Québécois installé aux États-Unis est le plus gros fournisseur de fûts pour les vignobles californiens. Comprenant l'intérêt que représentent les fûts usagés pour les brasseurs de bière, il se lance dans la récupération de barils usagés et devient un partenaire de choix pour Le Trou du diable qui, avec 800 fûts, possède le plus gros chai à bière du Canada. Avec les années, les cinq associés apprennent à jongler entre le brassage, la restauration – le pub fabrique lui-même ses saucisses et fume son bacon –, le service, la gestion… En 2007, Le Trou du diable ouvre son usine.

Un alcool dont Isaac aime la diversité et la forte personnalité, loin de l'uniformité des bières traditionnelles: «C'est tout un monde stimulant à découvrir. C'est comme ouvrir un livre de 2000 pages qui va te demander des années [à lire]. » C'est donc sur les plateaux de tournage, pendant les prises, qu'il rédige le plan d'affaires du Trou du diable. Sans argent et sans expérience entrepreneuriale, les deux chums vont mettre cinq ans à concrétiser le rêve d'André. Entre-temps, trois autres gars se joignent à l'aventure: Franck Chaumanet, un Français, électricien dans le cinéma et adepte comme eux du Duché de Bicolline – un domaine de jeu de rôles médiéval situé à Saint-Mathieu-du-Parc –, Dany Payette, lui aussi un chum du secondaire, et Luc Bellerive, enseignant et voisin d'André. Le groupe déniche un triplex résidentiel à Shawinigan que le propriétaire accepte de rénover entièrement. Pourquoi Shawinigan? «On avait identifié un besoin ici, explique Isaac. On a créé le pub que nous et nos amis voulions avoir pour boire des bonnes bières.

Thu, 11 Jul 2024 09:10:13 +0000