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Par la rédaction, le 28 juillet 2016. Chartes nationales de qualité des réseaux Archives - ITEA. -------------------- PUBLICITÉ -------------------- -------------------- PUBLICITÉ -------------------- « Le message clé que nous cherchons à faire passer dans ces deux nouvelles moutures est d'intégrer la sécurité dès la conception des ouvrages », insiste René-Claude Fouilloux, l'animateur « historique » du groupe de travail de l'Astee, à l'agence de l'eau Seine-Normandie. Ce volet sécurité s'est inspiré des travaux de la Normandie très impliquée sur le sujet avec la Carsat. « Nous avons intégré la sécurité à notre charte dès 2012 », souligne Stéphane Sochon, responsable du service assainissement de la communauté de commune de l'Estuaire de la Dives (CCED) et co-pilote de la charte qualité de Normandie, initiée dès 1995 par la Basse Normandie sur l'assainissement. A cette époque, près d'une dizaine de chartes régionales se montent dans l'Hexagone, comme celle d'Artois-Picardie et du fédérer ces initiatives, un groupe de travail national est créé au sein de l'Astee en 2000 aboutissant en 2006 à la première charte de qualité des réseaux d'assainissement.
A la différence d'un marché de travaux classique, le travail sous charte nécessite une étude préalable intégrant notamment une étude géotechnique et un diagnostic amiante. « La préparation en amont des chantiers prend plus de temps. En revanche, sur le terrain, leur durée est optimisée et la qualité est au rendez-vous. La charte eau potable | Chartes Qualité. A Cabourg, sur un chantier d'assainissement de 1, 2 km en diamètre 1000, nous n'avons pas enregistré une seule casse sur les réseaux alentour », note Stéphane Sochon à la CCED. « La qualité se traduit forcément par des contraintes supplémentaires. Mais au final, les coûts des travaux sont mieux maîtrisés et les ouvrages mieux construits n'induisent pas de surcoût en exploitation et sont plus pérennes », juge Jean-Christophe Behrens. Une étude réalisée en 2003 par l'agence de l'eau Seine Normandie pour comparer les chantiers menés avec et sans charte avait ainsi estimé le surcoût lié au respect de la charte entre 4 à 5%. En revanche, le recours aux avenants devient quasiment nul alors qu'ils peuvent parfois grossir l'enveloppe de travaux de 10 à 25%.