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Pour Rire Pour Passer Le Temps

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Ce spectacle a reçu le soutien de Réseau en Scène Languedoc-Roussillon dans le cadre de son accompagnement au collectif En Jeux. «Le monde va droit dans le mur: en montrant ses penchants les plus bas; en expulsant ses ultimes traces d'humanité comme une baudruche crevée. C'est ce que pointe Sylvain Levey dans Pour rire pour passer le temps, son écriture avance en pointillé, avec le goût amer de l'acier dans la bouche. Quatre personnages "jouent" à la torture: deux bourreaux, une victime, un complice malgré lui. Mais est-on complice malgré soi? Un texte à la langue coup de poing, à la sensualité perverse, à l'humour désespéré, pour un plaisir de lecture et pour quatre comédiens athlètes. » Quatrième de couverture du texte publié aux éditions THEATRALES ​ Il s'agit avant tout de parler de la violence, celle que nous portons tous en nous. Des schémas de pouvoir où des individus choisissent un bouc-émissaire pour ne pas être la victime. Pourtant, au milieu de ce manège, la victime n'est pas forcément celle que l'on attendrait.

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« Pour rire pour passer le temps » D'après Sylvain Levey / 35mn Le monde va droit dans le mur: en montrant ses penchants les plus bas; en expulsant ses ultimes traces d'humanité comme une baudruche crevée. C'est ce que pointe Sylvain Levey dans « Pour rire pour passer le temps ». Son écriture avance en pointillé, avec le goût amer de l'acier dans la bouche. Quatre personnages "jouent" à la torture: deux bourreaux, une victime, un complice malgré lui. Mais est-on complice malgré soi? « Ô ciel, la procréation est plus aisée que l'éducation. » d'après Sylvain Levey / 45mn Chouette! Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de P'tite Piette. Voici donc Tata et Tonton, les cousines qui débarquent pour fêter l'heureux événement. C'est sûr, on y va comme chaque année en se forçant un peu. Tous s'attablent mais la joie, feinte, ne parvient pas à cacher les misères de chacun. C'est une comédie grinçante et musicale dans laquelle chacun cache sous un masque souriant un profond mal-être. La section « amateurs » théâtre de la compagnie Lazzi Zanni présente deux pièces d'après les textes de Sylvain Levey.

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Tu lui dis qu'il est un moins que rien ». Les velléités de rébellion du 1 (« Je m'en vais… C'est grave. C'est tout nouveau pour moi… ») sont vite matées et le discours persécutif intériorisé devient le sien: « – Pourquoi tu frappes? – Parce que je suis un homme avec des poils. Il m'a dit fais chier, c'est pas beau. Quand je suis pas content, je frappe. Je frappe parce que je suis supérieur à lui… – Je résume: tu frappes ce couille de moineau parce qu'il est moins que rien…». Quant aux scènes 4 à 6, elles constituent un autre crescendo dans la perversité des bourreaux qui flambe sur une sonate de Schubert. Après s'être servi du 1 pour tyranniser le 4, constatant qu'il ne serait jamais à leur hauteur, ils changent tranquillement et en toute bonne foi leur fusil d'épaule… Un retournement de situation à déconcerter les amateurs de thriller les plus hards. Pour le final (scène 7), le comédien sort de la cage et, faisant subitement face à chaque spectateur en ligne de mire, s'adresse à lui… Et là n'est que le début de ce qui s'ensuivrait si la lumière ne se faisait dans la salle… Ce texte de Sylvain Levey publié aux Editions Théâtrales est remarquablement mis en scène par Thierry Escarmant (qu'on retrouvera en janvier prochain dans le cadre du Festival Trente Trente avec son « CHTO, interdit aux moins de 15 ans », fable contemporaine sur le déracinement).

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C'aurait tout aussi bien pu être la politesse économique: la croissance ad libitum, quelqu'en soit le prix, une idéologie, une croyance, une identité!? … autant de prémisses, sources de dérives. Quand heurté par sa propre déviance, le complice et exécutant émet des doutes, ceux-ci sont balayés, pas de place pour le questionnement, c'est comme ça. Et comme ça ne suffit pas, les plus forts, ceux, plus nombreux, ceux, au sec, lui rappellent en évoquant sa famille, combien il est esclave de l'attachement, comment chacun, nous oeuvrons par attachement et « désoeuvrons » de même. J'entends dans ce texte non pas la violence brutale et gratuite que le titre pourrait sous-entendre mais les principes qui conduisent à participer à la violence ordinaire, sournoise, sans trace sur le visage mais qui endolorie, qui génère chaque jour dans les foyers, dans les écoles, dans les entreprises, des tourmenteurs, des martyriseurs, des martyrisés et des spectateurs passifs; à la fin celui devenu meurtrier ne jette-t-il pas un regard amusé à la salle, témoin de ce jeu macabre?

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Elles sont quatre, quatre silhouettes alignées devant le fond noir du décor, quatre ombres, quatre hommes encore égaux dans la pénombre. Devant eux, un carré de mirage huileux. Lorsque la lumière dirigée vers les spectateurs, en vase communiquant, s'évade puis envahit le plateau, elle cisèle l'onde à la surface d'un bassin jusqu'alors supposé, projette son oscillation sur le mur: la scène est un plan d'eau, arène liquide où l'on patauge. Deux des quatre enfoncent leurs pieds dans l'eau; l'un est la victime, l'autre le complice, les bourreaux restent au sec, ils donnent les instructions, ils donnent l'ordre de frapper; les coups timides au début s'enchaînent, les « aïe! » d'abord étonnés deviennent mécaniques, et moi aussi, d'abord surpris par le réalisme des premiers chocs, ensuite je m'habitue. Les mécanismes de la violence dans le texte de Sylvain Levey sont décortiqués. Il y a d'abord la règle, principe irréfutable, ici: la politesse qui se fout bien de la morale; « il faut être poli » dit un des tortionnaires, sinon …!

Date de publication 04 juin 2019 Sylvain Levey Aide à la création - Cat. TEXTE DRAMATIQUE (printemps 2008) Théâtrales [Répertoire contemporain] 2007 Le monde va droit dans le mur: en montrant ses penchants les plus bas; en expulsant ses ultimes traces d'humanité comme une baudruche crevée. C'est ce que pointe ici Sylvain Levey. Quatre personnages jouent à la torture: deux bourreaux, une victime, un complice malgré soi? Personnage(s) - femme(s): 0 - homme(s): 4

Sat, 06 Jul 2024 05:09:22 +0000